Un couple sur les routes de Provence. Nils conduit Flora chez ses parents pour la première fois quand ils tombent dans une embuscade. Alors qu’elle est faite captive, il s’enfuit. Dans la nuit de la pinède, elle se retrouve face à ses doutes.
Ce court-métrage précède la projection de Heathers (Fatal Games)
Marie Jacotey est une artiste française née en 1988 à Paris et qui vit aujourd’hui à Londres. Diplômée des Arts Décoratifs de Paris en 2011 et du Royal College of Art de Londres en 2013, son travail se déploie dans une variété de matières (peinture sur plâtre, dessin au crayon, couture, tissu) et fait souvent référence au cinéma et à la slow motion. Elle a notamment été exposée en solo au McQueen Project Space (Londres, 2016), à la Galerie Francis Carrette (Belgique, 2016), à la Hannah Barry Gallery (Londres, 2015 et 2014), à la Robert Blumenthal Gallery (NY, 2015), au Heike Moras Art (Londres, 2015), et à la Galerie du CROUS (Paris, 2013). En 2014 son travail a été inclus dans le Bloomberg New Contemporaries (ICA, Londres, Biennale de Liverpool, Liverpool and Newlyn Art Gallery, Cornwall). Parmi ses récentes expositions collectives on peut citer : Rhythm and depiction, Center for Recent Drawing, Londres (2016) ; PLAYROOM, Union Club Studios, Londres (2016) ; The Names, Transition Gallery, Londres (2016) ; What’s the meaning of a goldfish, Tatjana Pieters Gallery, Ghent, Belgique (2015) ; She came to stay, Rook and Raven Gallery, Londres (2015) ; East London Painting Prize, Rum Factory, Londres (2015) ; Parisianer, Hôtel de Ville et Cité des Arts, Paris (2013-4). En 2015, Marie Jacotey a été commissionnée par le Granby Workshop pour produire une série limitée de tirages numériques pour sa boutique. On peut trouver ses travaux dans la collection du Victoria & Albert Museum à Londres, et elle est représentée par la Hannah Barry Gallery.
Après un master de graphisme à l’École Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Paris, Lola Halifa-Legrand part étudier à Londres au Royal College of Art jusqu’en 2011. Graphiste un temps pour Olu Odukoya sur sa revue Kilimanjaro et Modern Matter, elle collabore ensuite avec Sophie Demay sur des projets éditoriaux culturels pour, entre autres, la Serpentine Gallery, la National Portrait Gallery ou encore Firsite. Elle se réinstalle de nouveau à Paris en 2015 et reprend une activité de graphiste freelance indépendante pour Thames and Hudson, Victoria Wilmotte ou encore le Musée de Nîmes. Parallèlement, elle multiplie des expériences sur des plateaux de tournage ce qui la mènera à une formation à mi-temps à l’École du Jeu. Elle écrit pour la mode et travaille à l’écriture de son premier court métrage, Julia rouge et de son premier livre pour enfant.